Gérer les extrêmes climatiques et les catastrophes en Afrique : leçons du rapport SREX du GIEC

Le rapport spécial sur la gestion des risques d'événements extrêmes et de catastrophes pour faire progresser l'adaptation au changement climatique (SREX) a été commandé par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) en réponse à un besoin reconnu de fournir des conseils spécifiques sur le changement climatique, les conditions météorologiques extrêmes et les événements climatiques. (« extrêmes climatiques »). Le rapport SREX a été rédigé sur deux ans et demi, compilé par 220 auteurs experts, 19 éditeurs réviseurs et prenant en compte près de 19 000 commentaires. Il a été soumis à trois processus de rédaction rigoureux, avec un examen par des experts et par le gouvernement. Les conclusions ont été approuvées par les gouvernements du monde entier à l'issue d'une réunion de quatre jours, au cours de laquelle le résumé destiné aux décideurs politiques a été approuvé. Il constitue ainsi la meilleure évaluation scientifique disponible à ce jour. Il comprend un résumé politique publié en novembre 2011 et le rapport complet publié en mars 2012 (disponible en ligne sur http://ipcc-wg2.gov/srex). Ce résumé met en évidence les principales conclusions du rapport SREX d'un point de vue africain, y compris un évaluation de la science et de ses implications pour la société et le développement durable.

Impacts sur la santé des extrêmes climatiques

Ce chapitre résume ce que l’on sait des effets historiques des extrêmes climatiques sur la santé humaine. La section suivante décrit les études sur les maladies infectieuses et les extrêmes climatiques liés à l’oscillation australe d’El Niño. Le prochain examine les impacts des températures extrêmes à court terme.
La dernière section contient une discussion sur les catastrophes liées au climat.

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