Facteurs de risque perçus et voies de risque de la fièvre de la vallée du Rift chez les bovins du district d'Ijara, Kenya

Le district d'Ijara, au Kenya, a été l'un des foyers de la fièvre de la vallée du Rift (FVR) lors de l'épidémie de 2006/2007, qui a entraîné la mort d'humains et d'animaux, entraînant d'importantes pertes économiques. La principale contrainte pour le contrôle et la prévention de la FVR est la connaissance insuffisante des facteurs de risque liés à son apparition et à son maintien. Cette étude visait à comprendre les facteurs de risque perçus et les voies de risque de FVR chez les bovins à Ijara afin de permettre le développement d'une surveillance, d'une prédiction, d'un contrôle et d'une prévention améliorés des maladies au niveau communautaire. Une étude transversale a été réalisée de septembre 2012 à juin 2013. Trente et un entretiens avec des informateurs clés ont été menés avec les parties prenantes concernées pour déterminer la compréhension des éleveurs locaux des facteurs de risque et des voies de risque de FVR chez les bovins dans le district d'Ijara. Tous les informateurs clés ont perçu la présence d'un nombre élevé de moustiques et d'un grand nombre de bovins comme étant les facteurs de risque les plus importants contribuant à l'apparition de la FVR chez les bovins à Ijara.

Maladies infectieuses : préparer l’avenir de l’Afrique

Le projet actuel, Maladies infectieuses : préparer l’avenir, se projette sur 10 à 25 ans. Son objectif était d'évaluer la menace future des maladies chez les plantes, les animaux et les humains, et de développer une vision de la manière dont ces défis pourraient être gérés grâce à de nouveaux systèmes de détection, d'identification et de surveillance des maladies (DIM).
L'Afrique a été une considération clé, conformément aux priorités des présidences britanniques du G8 et de l'UE en 2005. Ce rapport rassemble tous les volets africains du projet.

Fixer, mesurer et surveiller les objectifs de réduction des risques de catastrophe

Dans de nombreuses régions, les risques de catastrophe continuent d’augmenter, principalement parce qu’un plus grand nombre de personnes et de biens vulnérables se trouvent dans des zones exposées. Il est essentiel de commencer à inverser ces tendances. Au cours des 18 prochains mois, il y aura des négociations et, espérons-le, un accord sur trois cadres politiques internationaux majeurs, chacun ayant un intérêt majeur à réduire les risques de catastrophe et à minimiser les pertes liées aux catastrophes. Il s'agit 1) du cadre post-2015 sur la réduction des risques de catastrophe (RRC) ; 2) les objectifs de développement durable (ODD) – un moyen de prioriser les actions de développement ; et 3) un accord international sur le changement climatique – pour établir une action mondiale pour lutter contre le changement climatique au-delà de 2020. S'ils sont bien intégrés, ces cadres devraient être en mesure de fournir une opportunité unique de proposer une stratégie cohérente et un plan de mise en œuvre pour lutter contre les facteurs de risque de catastrophe. .Un moyen essentiel de relier ces cadres, en particulier les ODD et le cadre de RRC pour l’après-2015, réside dans l’établissement d’objectifs mondiaux communs,

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