Au Moyen-Orient et en Afrique de l’Est, la COVID-19 aggrave les vulnérabilités déjà vécues par les populations déplacées de force par la guerre (réfugiés, demandeurs d’asile, personnes déplacées à l’intérieur du pays et apatrides). Outre la menace sanitaire dévastatrice que représente la pandémie, les mesures de confinement imposées par les gouvernements pour réduire la transmission ont des effets démesurés sur les populations déplacées de force, aggravant encore davantage la pauvreté et la xénophobie et créant de nouveaux problèmes de protection humanitaire.
Ce document de synthèse présente des réflexions sur la manière dont les acteurs humanitaires, les organisations de la société civile et les ministères ayant des responsabilités spécifiques envers les personnes déplacées peuvent contribuer à réduire les vulnérabilités dans cette pandémie.
Pour plus d’informations et de détails sur les réponses locales au COVID-19 des populations déplacées de force au Moyen-Orient et en Afrique de l’Est, consultez notre intégralité. Document de référence : COVID-19 et déplacements forcés au Moyen-Orient et en Afrique de l'Est.