Les « fins prématurées » peuvent alors être mieux abordées comme des topoi transformateurs entre l’ordre symbolique des épidémies réellement existantes et l’imaginaire de la pandémie, comme une vision de la fin (biologique et ontologique) de l’humanité.

Plutôt que de simplement relier expérience et anticipation, ils créent les conditions de possibilité de transfert entre le pensable et l’impensable.