Loin des lignes de front des épidémies d'Ebola en Sierra Leone, en Guinée et au Libéria, où des personnes et leurs soignants meurent de la maladie, de nouvelles formes d'aide humanitaire et de financement mondial de la santé sont exploitées à huis clos.

À Washington, à Londres et à Genève, les anciens modèles de coopération mondiale et d’aide au développement intergouvernemental, aussi imparfaits soient-ils, sont supplantés par de nouvelles formes de financement qui donnent la priorité aux profits des actionnaires privés.