Les réponses récentes aux personnes accusées d'être des « sorcières » ou des « empoisonneurs » parmi les Madi du nord de l'Ouganda sont comparées à celles des années 1980. Depuis 2006, un système démocratique de traitement des suspects a été introduit, selon lequel ceux qui obtiennent le plus grand nombre de voix sont expulsés du quartier ou punis d'une autre manière.

Ces évolutions sont évaluées en référence aux tendances à soutenir les approches « traditionnelles » de responsabilité sociale et de guérison sociale comme alternatives aux mesures plus conventionnelles.