Depuis la mise en œuvre du programme mVisa, la majorité des réfugiés pensent que les taux de malnutrition sont plus élevés qu’ils ne l’ont jamais été à Gihembe, que les mêmes maladies sont fréquentes, mais qu’il y a moins d’excréments – ou de diarrhée aqueuse – visibles dans les quartiers résidentiels.
Leur raisonnement : quand il y a moins de nourriture à manger, il y a moins de nourriture à excréter. Les réfugiés se demandent constamment comment améliorer leur vie, leur santé et leur avenir.