Même si la majorité des interventions contre le VIH/SIDA, la tuberculose et le paludisme ont eu des effets positifs à court terme, ceux-ci ne se sont souvent pas traduits en résultats durables à long terme. Les transferts monétaires peuvent avoir le potentiel de réduire la transmission du VIH, mais l'effet est jusqu'à présent insignifiant. .Un accès accru au traitement du VIH/SIDA et à la nutrition entraîne des améliorations significatives en matière d’emploi et de productivité.
Même si les interventions de microcrédit ont un effet positif sur le revenu des ménages des patients, l'accès à ces prêts pour les personnes très pauvres ou ayant de mauvais antécédents de crédit, et qui sont généralement les plus touchées par ces maladies, reste limité. Les dépenses personnelles liées au transport, au coût du diagnostic et aux soins continuent d'être catastrophiques pour les familles touchées par ces maladies, même lorsque l'accès au traitement lui-même est facilité.