Dans ce blog, Santiago Ripoll, Tabitha Hrynick, Megan Schmidt-Sane et Ashley Ouvrier résument les messages clés d'une récente réunion d'information sur la manière dont les gouvernements locaux des quartiers urbains multiculturels peuvent soutenir l'équité vaccinale en cas de pandémie.
Ebola suscite la peur dans les communautés en raison de la gravité des symptômes, de la méconnaissance des causes, du nombre élevé de décès et des mesures de contrôle souvent perçues comme intrusives et interférant avec les pratiques sociales, culturelles et religieuses locales.
La désinformation, la méfiance à l’égard des étrangers et les théories du complot se sont rapidement répandues dans le Nord-Kivu et en Ituri. Les communautés ont exprimé une méfiance rationnelle née de décennies de violence et de déplacements, ainsi que d’une méconnaissance de la maladie et des activités de réponse.
Au moment de l’épidémie de maladie à virus Ebola (MVE) en 2014-2015, le Libéria se remettait encore d’années de guerre civile et de troubles. L'infrastructure du pays était très médiocre, en particulier dans les régions rurales, où les gens ne pouvaient pas facilement se déplacer en raison du manque de routes adéquates. Le système de santé du Libéria a également été affaibli par la guerre civile, obligeant les établissements de santé à lutter efficacement contre l'épidémie de MVE.
Il y avait un manque de médicaments et de fournitures médicales de base, ainsi que le désenchantement des agents de santé mal payés. En fait, les agents de santé avaient prévu une grève dès l’apparition du virus Ebola. Un autre défi était que les agents de santé vivaient souvent à de très longues distances des établissements de santé.
La communication sur les risques et l’engagement communautaire (RCCE) constituent un élément essentiel de toute réponse à une épidémie. La communication des risques dans le contexte d'une épidémie d'Ebola fait référence à l'échange en temps réel d'informations, d'opinions et de conseils entre les intervenants de première ligne et les personnes confrontées à la menace d'Ebola pour leur survie, leur santé, leur bien-être économique ou social. L'engagement communautaire fait référence à un partenariat mutuel entre les équipes de réponse à Ebola et les individus ou communautés dans les zones touchées, dans le cadre duquel les parties prenantes communautaires s'approprient le contrôle de la propagation de l'épidémie.
Ce document a été élaboré conjointement par l'équipe de gestion des incidents de communication des risques et d'engagement communautaire (RCCE) pour la réponse à l'épidémie de maladie à virus Ebola en République démocratique du Congo en septembre 2018 par l'Organisation mondiale de la santé, l'UNICEF et la Fédération internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. Sociétés, avec la contribution de GOARN Research (sciences sociales), des Centers for Disease Control des États-Unis,
L'anthropologue sociale Julienne Anoko visite les communautés pour encourager des enterrements sûrs et dignes. L'infection par le virus Ebola peut survenir en touchant le corps de personnes décédées de la maladie à virus Ebola (MVE).
Ce document a été élaboré par le Programme d'urgence sanitaire de l'OMS comme ressource pour la réponse à l'épidémie en République démocratique du Congo en mai 2018. Il est destiné à être utilisé pour guider le travail de communication sur les risques et d'engagement communautaire (RCCE) qui est essentiel pour arrêter l'épidémie. et empêcher son amplification ultérieure.
Les auteurs présentent les données actuelles sur l'impact du changement climatique sur les déterminants sociaux et environnementaux de la santé et le lien entre ces déterminants et la vulnérabilité des communautés locales. Ils décrivent les interventions communautaires éprouvées que les populations locales des pays en développement peuvent intensifier et s'approprier afin de renforcer leur résilience aux maladies et conditions sensibles au climat.
Ce plan vise à renforcer la résilience des communautés face à l'insécurité alimentaire en renforçant les domaines suivants : l'accès et la disponibilité de la nourriture ; la sécurité alimentaire, la nutrition et les moyens de subsistance des ménages ; réduction des risques de catastrophe au niveau communautaire ; l’accès à l’eau potable et à l’hygiène, et la sensibilisation à la santé.
Le plan unira et soutiendra les efforts des partenaires et contribuera à la réalisation de l'objectif de développement durable 2, visant à éliminer la faim et à assurer la sécurité alimentaire, ainsi qu'aux actions prioritaires du cadre de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe.
Avant le protocole communautaire de PTME du HCR, les femmes enceintes réfugiées vivant avec le VIH n’avaient pas accès aux services essentiels de PTME. Les femmes réfugiées peuvent désormais avoir accès à un
programme complet de PTME.
Les rapports sur l’épidémie d’Ebola mettent trop l’accent sur le rôle de l’Organisation mondiale de la santé tout en négligeant l’importance des réponses communautaires locales.